Les publications du Cercil
Le Cercil-Musée Mémorial des enfants du Vel d’Hiv est aussi devenu un éditeur. En effet, en raison de leur caractère exceptionnel, certains témoignages recueillis font l’objet de publications : ces biographies familiales sont étayées par de nombreux documents d’archives et accompagnées de contributions historiques.
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Sauvé d’Auschwitz par l’assistance publique. Charles Waserscztajn – Préface : Serge Klarsfeld.
Sauvé d’Auschwitz par l’assistance publique.
Pour Charles Waserscztajn, tout a commencé par une erreur lors de son enregistrement à l’Assistance publique, le 6 décembre 1940. Tauba, sa mère, jeune femme juive polonaise réfugiée en France depuis 1938, totalement démunie, sans solution, confie «provisoirement» son enfant à l’institution publique. En fait, celle-ci enregistre un abandon «définitif». Cette erreur sauvera l’enfant de la déportation…Mais elle séparera définitivement l’enfant de sa mère. Tauba, engagée dans de nombreuses démarches pour récupérer son enfant, refusera de quitter Paris, au péril de sa vie… En 2001, Charles découvre son histoire dans le dossier conservé à l’Assistance publique et commence alors une enquête sur ce passé inconnu, sur les traces de ses parents déportés à Auschwitz et de sa petite enfance passée chez des nourrices dans le Berry. À la fois travail de mémoire et recherche à dimension historique, ce récit autobiographique entremêle l’itinéraire personnel, chaotique et attachant, d’un orphelin et les pages tragiques des rafles parisiennes, du camp d’internement de Pithiviers et de la Shoah.
Edition du Cercil 2016 – 184 pages – 15×24 cm.
Prix : 18€
Le convoi des mères. Texte Rolande Causse – Dessins de Gilles Rapaport
Le convoi des mères.
Les 16 et 17 juillet 1942, plus de 13000 Juifs, dont une majorité de femmes et d’enfants (4115 enfants), sont arrêtés à Paris. Les familles sont enfermées au Vélodrome d’Hiver puis internées dans les camps de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande. Depuis août, les mères sont déportées à Auschwitz, après avoir été cruellement séparées de leurs enfants. Ceux-ci demeurent seuls, livrés à eux-mêmes, errant dans le camp dans un état de détresse absolu. Après quelques semaines, ils sont transférés dans des wagons plombés à Drancy puis à Auschwitz-Birkenau où ils sont assassinés dès leur arrivée. Les dessins de Gilles Rapaport, d’une grande intensité, accompagnent le texte de Rolande Causse, qui raconte ce qui fut, selon Serge Klarsfeld, le « paroxysme de la solution finale en France”.
Edition du Cercil 2014 – 58 pages – 20×25 cm
Prix : 17€
Je m’appelle Isaac et j’ai été un enfant caché. Texte et illustrations Isaac Millman – Traduction Odile Belkeddar.
Je m’appelle Isaac et j’ai été un enfant caché
Isaac Sztrymfman a sept ans quand l’Allemagne envahit la France, pays où ses parents, juifs polonais, se sont réfugiés. Le 14 mai 1941, son père, Moïshé, est arrêté et enfermé au camp de Pithiviers où il reste de longs mois. Le 25 juin 1942, il est déporté à Auschwitz. Il y est assassiné.En 1942, Isaac et sa mère, Rivelé, sont à leur tour arrêtés et emprisonnés à Autun. Sa mère soudoie un gardien pour que son fils soit envoyé dans un hôpital où, grâce à la complicité des médecins et infirmières, les enfants juifs sont déclarés malades. Après ce refuge provisoire, Isaac est caché par plusieurs personnes, faisant alternativement l’expérience de la cruauté et de la tendresse. Il doit camoufler son identité et prend le nom de Jean Devolder.À la fin de la guerre, Isaac ne retrouve pas ses parents. Il est adopté en 1948 aux États-Unis, et devient Isaac Millman.Isaac Sztrymfman-Millman restitue dans cet ouvrage co-écrit avec le Cercil les scènes les plus marquantes de son histoire.
Texte et illustrations Isaac Millman – Traduction Odile Belkeddar
Prix: 14€
Annette Muller,la petite fille du Vel d’Hiv. Du camp d’internement de Beaune-la-Rolande à la maison d’enfants. Récit d’Annette Muller et de Manek, son père. Préface Serge Klarsfeld.
Annette Muller,la petite fille du Vel d’Hiv. Du camp d’internement de Beaune-la-Rolande à la maison d’enfants.
«Soudain j’ai entendu des coups terribles contre la porte… » 16 juillet 1942 : la petite Annette a 9 ans. Après avoir vécu l’enfer du Vel d’Hiv, elle est internée avec sa mère et son jeune frère Michel à Beaune-la-Rolande. Elle connaît le sort terrible des milliers d’enfants juifs internés dans les camps du Loiret, cruellement séparés de leur mère, puis envoyés à Auschwitz – d’où aucun n’est revenu… Annette, elle, échappe à la déportation grâce à son père qui réussit à la faire sortir, avec son frère, de Drancy. Elle est l’une des très rares enfants du Vel d’Hiv qui ont survécu. Le Vel d’Hiv, le camp de Beaune-la-Rolande, Drancy, l’asile Lamarck, l’orphelinat catholique où elle a été cachée, la maison d’enfants du Mans : elle n’a cessé de se souvenir. Elle a finalement décidé de raconter ; elle restitue le regard de l’enfant qu’elle était, comme si ces moments n’avaient jamais glissé dans le passé… Accompagnant ce récit unique, des notes, des études historiques, des documents d’archives privées et publiques souvent inédits, rappellent en particulier le processus qui a conduit à de tels événements, ceux que Serge Klarsfeld nomme dans sa préface « la page la plus noire de l’histoire de France».
Contributions historiques : Katy Hazan, Henry Minczeles, Catherine Thion et Benoît Verny. Préface Serge Klarsfeld. Ouvrage publié grâce à l’Union Européenne. Editions Cercil 2009 – 248 pages – 20×22 cm.
Prix: 15€
Le dernier été des enfants à l’étoile. Philippe Barbeau et Annette Krajcer
Le dernier été des enfants à l’étoile.
Philippe Barbeau et Annette Krajcer. Comme Annette âgée de 12 ans, les familles de Juifs étrangers victimes de la rafle du Vel d’Hiv sont internées dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande, sous la surveillance de gendarmes français. Parents et enfants vont être arrachés les uns aux autres puis déportés à Auschwitz pour y être assassinés. Sauvée grâce à un incroyable concours de circonstances, Annette témoigne de ce qu’elle a vécu et de ce que fut en France le dernier été de quatre mille enfants à l’étoile… « Notre mère figurait sur la liste qu’un gendarme avait lue devant notre baraque, le soir du 1er août 1942. Maman allait nous quitter. Nous étions effondrées ! Malgré les nombreuses années écoulées depuis, la nuit qui suivit hante encore ma mémoire et ravive ma douleur. Blottie tout contre maman, je luttais contre le sommeil car je voulais arrêter le temps qui fuyait et nous rapprochait du terrible moment, si redouté, de la séparation…».
Co-éditions Cercil / Oskar éditions 2010 – 88 pages – 14,5×19 cm.
ÉPUISÉ
Interné d’office du camp d’internement de Beaune-la-Rolande… à l’hôpital psychiatrique de Fleury-les-Aubrais. Les cahiers d’Abraham Zoltobroda. Traduction du yiddish par Batia Baum. Etudes historiques : Isabelle von Bueltzingsloewen et Benoît Verny
Interné d’office du camp d’internement de Beaune-la-Rolande… à l’hôpital psychiatrique de Fleury-les-Aubrais.
Paradoxe de l’histoire, les hôpitaux psychiatriques français, devenus des mouroirs sous le régime de Vichy, ont aussi abrité des victimes des persécutions nazies. Abraham Zoltobroda est de ceux là. Arrêté et interné au camp d’internement de Beaune-la-Rolande, cet homme, juif polonais réfugié en France, relate, durant des mois, sur des cahiers d’écolier, son combat acharné pour rester « dans la maison des fous », à Fleury-les-Aubrais. Grâce à cette « stratégie de survie », il échappera au sort des milliers de Juifs (plus de 15 000) qui, après avoir été internés dans les camps du Loiret, furent dans leur très grande majorité déportés et exterminés à Auschwitz-Birkenau. Son récit, ceux de ses proches, les documents d’archives inédits publiés ici et les analyses qui les accompagnent sont un témoignage précieux sur le traitement réservé par l’administration française aux Juifs dans les camps d’internement et dans les « asiles », ainsi qu’un hommage au courage du personnel médical. Ouvrage publié grâce à l’Union Européenne.
Editions Cercil 2007 – 152 pages – 20×22 cm.
Prix: 15€
Pithiviers-Auschwitz, 17 juillet 1942, 6h15. Témoignages recueillis par Monique Novodorsqui-Deniau. Préface de Simone Veil. Edition présentée et annotée par Katy Hazan, Benoît Verny, Nadine Fresco.
Pithiviers-Auschwitz, 17 juillet 1942, 6h15.
«Mais à présent, tout le monde, femmes, hommes, vieillards parfois, quelques malades et enfants (fillettes de 13 ans) hop ! embarqués … et moi avec. Je ne sais pas où j’irai. Dans l’Est en tout cas. ça fera mes grandes vacances. Je vais voir du pays. »C’est du camp de Pithiviers, où il est interné, que Gérald Souweine, 15 ans, envoie cette lettre à sa famille. Dernière lettre. Le lendemain, 17 juillet 1942, Gérald et 927 autres Juifs sont déportés. Ce convoi vers Auschwitz est le sixième de ceux qui sont partis de France entre le printemps 1942 et l’été 1944. Aujourd’hui, dans ce livre, les témoins disent les arrestations et les rafles, l’internement dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande, enfin la déportation vers Auschwitz. Une mère, un père, un grand-père. Un frère ou une sœur, restés jeunes à jamais. Un parent qu’ils n’ont pas connu mais veulent préserver de l‘oubli. Ils racontent aussi leur propre vie d’enfants juifs avant la guerre, dans cette France qu’aimaient leurs parents, étrangers pour la plupart. Puis comment eux-mêmes ont traversé les années de la persécution. Orphelins pour beaucoup, mais ne le sachant pas encore. Pour plusieurs jeunes qui furent déportés par ce convoi 6, il n’y a plus personne qui puisse témoigner. Et seules des archives retrouvées, exhumées, ont permis de retracer ici leurs vies si brèves…».
Editions Cercil 2006 – 360 pages – 27×22 cm.
Prix: 10€
Chère Edzia, chers enfants… Correspondance de la famille Rotgold (1939-1944), camp de Beaune-la-Rolande. Présentation de Serge Rotgold.
Chère Edzia, chers enfants… Correspondance de la famille Rotgold (1939-1944), camp de Beaune-la-Rolande.
Editions Cercil 2002 – 160 pages – 22×26 cm.
Tarif : merci de contacter le Cercil
Lettres à Chana. Camp de Phitiviers, 16 mai 1941-24 juin 1942. D’Isaac Schœnberg. Edition présentée et annotée par Serge Klarsfeld. Préface de P. Pachet.
Lettres à Chana. Camp de Phitiviers, 16 mai 1941-24 juin 1942.
… »Je suis convaincu qu’on ne va pas garder au camp des gens auxquels rien de malhonnête n’est à reprocher »… Isaac Schœnberg, qui écrit ces lignes au camp de Pithiviers, en juillet 1941, a été arrêté à Paris, en même temps que 3700 Juifs étrangers, en vertu de la loi de Vichy du 4 octobre 1940 qui donne aux préfets le pouvoir arbitraire d’interner les juifs étrangers dans des camps spéciaux. Comment ce jeune peintre de 34 ans, passionné de musique, qui écrit à la femme qu’il aime, aurait-il pu croire que tout avenir lui était désormais interdit ? Le 25 juin 1942, il est déporté à Auschwitz. Il survit 5 semaines. Pendant son long internement à Pithiviers, du 14 mai 1941 au 25 juin 1942, il écrit, chaque jour ou presque, à Chana Zylbermann. 141 de ces lettres ont été conservées : quelques lettres « légales » écrites en français, la plupart en yiddish, sorties clandestinement. La publication, par le Cercil, d’une sélection de ces lettres, a été préparée par Serge Klarsfeld, à qui elles avaient été confiées par Chana. Inquiétude, espoir, courage, abattement, fièvre de dessiner et d’écrire, amour et désir : voilà – selon les mots de Pierre Pachet dans sa préface – ce que nous découvrons dans ces lettres intimes. Elles sont pour nous « un document passionnant sur la vie juive sous l’occupation, et en particulier sur ce qu’éprouvait, pensait, savait un détenu juif de Pithiviers.”
Editions Cercil 1995 – 164 pages – 24×17 cm.
Prix: 11€
La Shoah, témoignages, savoirs, œuvres. Actes des journées d’étude organisées en 1996 à Orléans avec les Universités de Paris VIII et d’Orléans, sous la direction d’Annette Wieviorka et Claude Mouchard.
La Shoah, témoignages, savoirs, œuvres.
Au cœur de cette rencontre, qui relance l’exigence de confronter inlassablement les représentations de la déportation et du génocide, une question récurrente se forme: qu’est-ce que témoigner? Question centrale pour la shoah, et dont il faudrait désormais tenir compte dans l’ensemble des recherches historiques, ainsi que dans le champ des analyses littéraires. On en mesure ici la portée à travers de très simples problèmes de transmission, de transcription, de réception; à travers aussi l’immense problème des œuvres littéraires, picturales, cinématographiques, auxquelles a donné lieu la mémoire. Très vite l’interrogation sur l’essence du témoignage fait place à la question de sa nature (comment témoigner ?), de sa destination (pour qui témoigner ?), de sa fonction (pourquoi, voire à qui bon témoigner ?). Réunissant témoins et chercheurs de générations différentes, ce livre relève d’une passion commune à tous les intervenants: interroger sans relâche les voix qui nous parviennent du passé et les chemins par lesquels elles nous atteignent.
Co-édition Les Presses Universitaires de Vincennes-Cercil 1999 – 160 pages – 22×14 cm.
Prix: 20€
Lettres d’un interné au camp de Pithiviers. Kalma Apfelbaum (1906-1942).
Lettres d’un interné au camp de Pithiviers.
« Hier a été le jour le plus triste de toute mon existence » (…) L’ordre de départ est arrivé avec une commission allemande qui réclamait 1000 hommes (…) Moi, je fais partie de ceux qui partent. (…) Nous allons voyager 15 jours dans des wagons fermés. « Ces mots, Kalma Apfelbaum les adresse, le 24 juin 1942, à » Rachel aimée » (sa femme) et à » chère unique Raymonde » (sa fille âgée de trois ans) dans la dernière lettre qu’il écrit du camp d’internement de Pithiviers. Ce que Kalma ignore, c’est la destination de ce voyage. Le convoi n° 4, dont il fait partie, quitte Pithiviers le 25 juin 1942. C’est à Auschwitz qu’il arrive le 27 juin. Kalma Apfelbaum y meurt le 11 juillet. Le 14 mai 1941, Kalma Apfelbaum avait répondu à une convocation officielle, le « billet vert « , reçu par 4 000 Juifs étrangers. Il fut au nombre de ces juifs que le gouvernement français fit interner, puis « remit » (c’était le terme officiel) aux autorités allemandes. Tout au long de son internement, Kalma écrit à Rachel et à Raymonde. À côté d’une correspondance en français, contrôlée par la censure, il envoie, clandestinement, des lettres en yiddish. L’interné n°28, Kalma Apfelbaum, essaie d’y dire, comme il ne l’avait jamais fait, son amour à ses proches. Ces lettres constituent un document de première importance. Elles sont un témoignage sur les effets de la violence nazie à laquelle les autorités françaises collaboraient.
Co-éditions Belin-Cercil 2005 – 181 pages – 21×14 cm.
Prix: 19€
Une petite fille privilégiée, une enfant dans le monde des camps (1942-1945). De Francine Christophe.
Une petite fille privilégiée, une enfant dans le monde des camps (1942-1945). De Francine Christophe
Editions Cercil 1995 – 84 pages – 24×17 cm.
ÉPUISÉ
Mémoires de Léon Grynberg, rescapé d’Auschwitz, 1903-1979. De Léon Grynberg, traduit du yddish par Lisa Wachtel; Postfaces de H. Bulawko et de H. Minczeles.
Mémoires de Léon Grynberg, rescapé d’Auschwitz, 1903-1979.
« Toi mon fils aîné Leibl (Léon)”, et ses beaux yeux rayonnants d’intelligence s’embuèrent de larmes, « je veux que tu saches qui étaient ton père et ton grand-père dont tu portes le nom, et que tu transmettes à ton frère Moshé quand il sera plus grand, ainsi qu’à vos enfants et petits-enfants. » « J’accomplis ici la promesse que j’ai faite à ma chère maman.” Ainsi s’exprime Léon Grynberg en 1951. Né en Pologne à la charnière du siècle, imprégné de la yiddishkeit que lui a transmise son grand-père, il arrive en France en 1931. Il se marie avec Guitké en 1935. Rosa naît quatre ans après. Mais la machine nazie, secondée par Vichy, va broyer cette famille. Arrêté le 14 mai 1941 lors de la rafle du Billet vert, interné à Beaune-la-Rolande, Léon Grynberg est déporté à Auschwitz en juin 1942. Raflées au Vel d’Hiv, sa femme et sa fille sont gazées à Auschwitz. La trégédie ne s’arrête pas là ; après Auschwitz, on l’envoie déblayer les décombres du ghetto de Varsovie. Devant l’avance des alliés, il est déporté à Dachau, puis à Muhldorf. Les marches de la mort le laissent à Innsbrück, où il est finalement libéré en avril 1945. C’est ce parcours terrifiant qui nous est ici conté, dans un témoignage capital.
Editions Cercil 1998 – 91 pages – 24×17 cm.
ÉPUISÉ
Le camp de Jargeau, juin 1940 – décembre 1945. Histoire d’un camp d’internement dans le Loiret. De Pascal Vion. Préface de Serge Klarsfeld.
Le camp de Jargeau, juin 1940 – décembre 1945. Histoire d’un camp d’internement dans le Loiret.
Si les exécutions massives en Europe orientale et l’extermination systématique de centaines de milliers de Tsiganes dans les camps de la mort sont désormais reconnues, les souffrances des Gens du Voyage en France pendant la Seconde guerre mondiale restent encore ignorées ou occultées. Et pourtant, entre 1940 et 1945, environ 3000 Tsiganes sont parqués dans 27 camps d’internement gérés par l’administration française. Le camp de Jargeau, dans le Loiret, fut l’un des plus importants.
Editions Cercil 1993 – 133 pages – 22×17 cm.
ÉPUISÉ